Equinoxe Tv affiche du noir pendant 3h de temps ce lundi soir
Ce lundi 20 avril, pendant quelques heures, la chaîne n’était pas accessible
De nombreux abonnés de la chaîne l’ont constaté, les fréquences de la télévision renvoyaient au noir entre 20h45 et 23h30.
Autour de 20h 45, soit 13 mins après le lancement du débriefing du journal, le signal de la chaine va disparaitre à la surprise des internautes et téléspectateurs. C’est au moment où Duval Fangwa interroge le Dr Fokam, Médecin, Chercheur et Enseignant d’Université en Allemagne, sur les mesures à prendre pour limiter la propagation Coronavirus au Cameroun.
« Jusqu’à présent je ne vois pas équinoxe télévision qu’est-ce qui se passe. J’suis à maroua » s’est interrogé Steban Adrian, un internaute de Médiatude. « Mediatude ooooh, équinoxe a disparu oooh » s’est également inquiétée une autre abonnée.
De même, sur la page Facebook de la chaine de télé, le live Facebook qu’elle propose tous les soirs a été également interrompu.
Pour le moment, nous n’avons pas pu recueillir plus de détails sur la véritable cause de cet incident. La chaîne n’a pour le moment pas communiqué sur les raisons de ce désagrément. Ce qui pourrait être considérée comme une panne, est revenue à la normale autour de 23h30.
Parmi les principales chaines de télé camerounaises que nous avons parcourues dans cette tranche horaire ( Canal 2, CRTV, Equinoxe TV, Vision 4) Equinoxe Tv était la seule chaîne de télé qui affichait du noir au moment où de nombreuses villes étaient plongées dans l’obscurité. En effet, lundi 20 avril 2020, aux environs de 20H45, les grandes métropoles Douala et Yaoundé et une partie d’autres villes du Cameroun ont été plongées dans le noir. Un délestage général qu’Eneo a tenté d’expliquer dans un communiqué partagé sur son compte Facebook. L’entreprise parle d’un incident survenu sur le réseau de transport. Dans le communiqué publié lundi soir au moment où l’obscurité avait envahi le Cameroun, Eneo a indiqué que la Sonatrel était à pied d’œuvre pour un retour à la normale.
