Franck Foute accuse Célestin Djamen de plagiat

Dans une publication ce mercredi 18 janvier 2023, le journaliste en service à Jeune Afrique accuse le président national de l’Alliance patriotique républicaine (Apar), d’avoir « recopié », un de ses articles sur Paul Atanga Nji.

L’article en question est un portrait faisant état de la « méthode » de commandement du ministre de l’Administration territoriale, publié au mois de mai de 2022.

Franck Foute, qui a visiblement reconnu ses textes sur une tribune de l’homme politique Célestin Djamen, publié il y a trois jours sur son compte Facebook, l’a interpellé. Il lui a fait comprendre qu’il ne peut pas « diffamer » Jeune Afrique « pour après recopier de manière éhontée ses articles, les sucrer et les republier dans le but de remplir vos desseins  » atalakutique  » », ajoutant « Et si vous ne pouvez vous en empêcher, le minimum est de citer votre source ».

Par ailleurs, dans sa tribune, intitulée : « honorons les grands serviteurs de l’État : suite et fin. », Médiatude a pu constater effectivement, des similitudes avec l’article soulevé par Franck Foute. Et dans les commentaires qui se sont succédés, des internautes dénonçaient déjà un « plagiat » de l’ancien haut cadre du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (Mrc).

Concernant la « diffamation » sur le média pour lequel il officie, Franck Foute, a exhumé une publication de Célestin Djamen, publié le 29 décembre 2022. Une publication dans laquelle, Célestin Djamen affirme que Jeune Afrique a fait de « l’enfumage », lorsqu’il a rapporté que Maurice Kamto s’est rendu à la présidence de la République pour y déposer « une lettre confidentielle ». Il s’est demandé en plus, « combien le journal panafricain avait perçu pour raconter de telles âneries ? ».

Des déclarations auxquelles Franck Foute lui a répondu par une parabole : « M. Célestin Djamen, celui qui n’aime pas le soya, doit éviter le comptoir du maguida. »