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« J’aurais attendu que le gouvernement camerounais me protège d’abord », a déploré Nourane Fotsing dans Autant le Dire

Sur le plateau d’« Autant le dire » de Naja Tv, retransmis cette nuit du lundi 29 août 2022, le député du Parti camerounais pour la Réconciliation nationale (Pcrn) a aussi estimé que le gouvernement camerounais lui a tourné le dos après la diffusion du reportage polémique de France 24 sur ses boissons jugées « éclaircissantes ».

Même si elle a d’abord reconnu que le ministre de la Santé publique était dans son plein droit en suspendant « Collagène », une boisson jugées « décapantes », au lendemain de la diffusion du reportage polémique de France 24, Nourane Foster a quand-même souhaité une protection de la part du gouvernement camerounais. Celle-ci a estimé sur le plateau d’Autant le dire sur Naja Tv, diffusé ce lundi 29 août sur You Tube, que le gouvernement camerounais l’avait jetée en pâture, plutôt que de la soutenir contre le tollé suscité par le reportage de France 24.

« Ce qui m’a fait de la peine dans cette sortie [du ministre de la Santé publique] en réalité, bien qu’il soit totalement dans ses droits, c’est que je sois lancée à la vindicte populaire suite à un reportage français, a d’abord relevé la dame de 34 ans. J’aurais attendu que le gouvernement camerounais me protège d’abord et c’est ce qu’on réclame toujours à ce gouvernement. Nous ne protégeons pas assez nos citoyens ! Nous ne protégeons pas assez nas projets ! Pourquoi est-ce que l’avenir ou la jeunesse qui brille, qui monte en puissance gêne autant les gens ? Pourquoi est-ce qu’on veut toujours tuer l’entrepreneur ? », a tonné l’élue du Wouri Est.

Nourane Fotsing au lendemain de la diffusion sur France 24 d’un reportage sur ses boissons Collagène, jugées « éclaircissantes », avait déchainé les passions. Le Ministre de la Santé publique partant d’une prétendue composition en substances toxiques pour la santé, avait décidé d’interdire la vente du produit « Collagène » dans le marché camerounais. il avait même ajouté que ses produits se vendaient sans avoir requis une « autorisation » de la part de son département ministériel.

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