Junior Abena : « Je n’ai jamais été membre du Snjc »
L’homme de média cité dans l’affaire Bopda réagit après avoir été suspendu par le syndicat national des journalistes du Cameroun.
Dans un communiqué signé le 31 janvier 2024, le Snjc avait annoncé la suspension de son membre Junior Abena, indiqué comme étant l’un des complices du nommé Hervé Bopda dans l’affaire de viol qui défraye la chronique au pays depuis quelques semaines. Le syndicat avait alors indiqué avoir pris cette décision après avoir cherché en vain d’obtenir la version de junior Abena, qui était resté « fermé, injoignable pendant trois jours malgré nos tentatives de rencontres et d’appels ».
Sauf que dans une sortie le lendemain, le mis en cause dit être choqué suite au communiqué signé par Catherine Mintsa Tsogo. « Pour des journalistes professionnels, c’est assez choquant et déconcertant de lire un communiqué officiel où mon identité véritable n’est pas mentionnée mais plutôt mon pseudonyme. Halte à la désinformation et à la diffamation, car appartenir à un groupe WhatsApp ne fait pas de moi un de vos membres », a-t-il écrit. « Je n’ai jamais été membre du Snjc, syndicat national des journalistes du Cameroun. Je n’ai jamais signé une quelconque fiche d’adhésion du SNJC. Je n’ai jamais assisté aux réunions du SNJC », a-t-il indiqué.
Dans le même démenti, il souligne que son vrai nom est Moudang Abena Valentin et qu’il est membre du syndicat national des Journalistes indépendants du Cameroun (Synajic).
Junior Abena s’est rendu célèbre avec les magazines FASHION TV sur Équinoxe TV et BE FASHION sur Canal 2 .