Georges Dougueli envisage une plainte contre le journal Première Heure
Le journaliste camerounais en service à Jeune Afrique a fait une sortie ce 7 janvier 2025 où il fustige la Une du journal qui l’accuse d’être un outil de propagande de « l’homme à la punk ».
C’est avec une réclamation de justice que le journaliste marque son retour sur Facebook, un peu plus de deux ans après avoir annoncé qu’il quittait le réseau social. Ce qui l’a fait sortir de ses retranchements est la Une du journal Première Heure du 7 janvier 2025.
Le journal a en effet titré ce mardi : « Désinformation : Monsieur Jeune À Fric de l’homme à la punk », accusant Georges Dougueli de servir les intérêts politiques de certaines figures au Cameroun en utilisant son influence au sein du journal Jeune Afrique. Selon Première Heure, Georges Dougueli ferait de la diffamation contre « les ennemis de l’homme à la punk », une référence à peine voilée à une personnalité politique influente. « Georges Dougueli, journaliste camerounais et représentant Afrique centrale de Jeune Afrique, use de l’influence du journal pour diffuser des mensonges odieux sur tous les ennemis désignés de l’homme à la punk. Le Ministre d’État Laurent Esso est ainsi devenu la cible privilégiée de Jeune À Fric sous la plume crapuleuse de Georges Dougueli », a pu lire Médiatude sur la couverture du journal.
Face à ces affirmations, Georges Dougueli a choisi de s’exprimer sur Facebook, dénonçant avec fermeté les propos tenus par Première Heure. Dans son post, il s’insurge contre les fausses allégations : « Le rédacteur m’y attribue un article que je n’ai pas écrit… Le contenu est affolant ! Que Dieu me protège des amitiés qu’il m’y prête, autant que des prétendues inimitiés qui seraient la cible de ma « plume crapuleuse » ».
Le journaliste a également souligné la nécessité de protéger sa réputation face à de telles diffamations. Et pour se défendre, il a annoncé avoir sollicité son avocat pour envisager une action en justice, espérant que la vérité puisse émerger d’une telle confrontation judiciaire.
