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Interview Bonté Modeste Nkoué, 22 ans et présentateur du journal parlé sur Capitale FM

Présentateur du journal de 18h et de plusieurs émissions sur Capitale FM (102.8 FM Yaoundé), Bonté Modeste Nkoué est à 22 ans l’une des principales voix de la jeune radio. Il se livre sur son travail au sein de cette chaîne lancée en décembre 2021.

Médiatude : Et si vous nous dressiez brièvement votre parcours avant Capitale FM ?

Bonté Modeste Nkoué : Je suis issu de la 49e promotion de journalisme de l’Esstic. C’est ma première réelle expérience professionnelle après mes études que j’ai clôturé en novembre 2021. J’ai effectué cependant des stages, à la CRTV Sud notamment. Je suis également le lauréat du prix Sita Bella 2021.

Comment arrivez-vous à Capitale FM ?

Déja j’ai candidaté, puis j’ai passé un premier entretien au téléphone, j’ai été retenu ici et j’ai été appelé après entretien physique.

Comment trouvez-vous la vie à Capitale FM pour une première expérience ?

C’est une jeune radio, et le travail est très dense. Capitale FM veut se hisser au sommet. On ne regarde donc pas la nouveauté dans le métier ou pas. Personnellement, je gère quelques programmes et je suis reporter, je suis hyper motivé à chaque fois.

Comment vous organisez-vous ?

J’appartiens déjà à une rédaction. Je ne suis que les instructions. Je m’arrange à faire mon travail dans les délais. Je prévois généralement plein de choses à l’avance, notamment les sujets pour le 12h, les titres pour le 18h etc.

Est-ce que ça ne vous met pas un coup de pression de travailler avec Armand Okol et Francis Bonga ?

Évidemment. Leurs amis savent qu’ils sont ici, et donc on ne sait pas qui nous écoute. Et donc, la pression qui est sur eux est sur nous. Quand on travaille donc, on le fait de manière méticuleuse pour honorer la confiance placée en nous et positionner la radio.

Quel message avez-vous pour vos potentiels auditeurs ?

Je veux préciser que nous avons déjà énormément d’auditeurs. Je les en remercie. On leur demande pardon pour nos quelques erreurs. On travaille pour leur satisfaction.

© Entretien avec Y.N., Médiatude

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